Au mois de septembre, le Premier ministre a annoncé qu’un budget conséquent serait alloué à la police et à la gendarmerie afin de lutter efficacement contre les nouvelles formes de délinquance et notamment la cybercriminalité. Les cyberattaques à l’égard des entreprises se multiplient, dans un contexte international tendu, et deviennent de plus en plus sophistiquées et donc imprévisibles. On ne soulignera donc jamais trop la nécessité de se protéger efficacement contre ce type d’attaques en assurant la sécurité de ses outils informatiques et la formation de ses employés aux bons réflexes.
Le terme général de cybercriminalité désigne à la fois les délits qui sont « numériques » par nature, comme l’atteinte à un système de traitement automatique de données (STAD), et les infractions ordinaires commises à l’aide d’un réseau électronique (ex. : une escroquerie en ligne, une usurpation...