Malgré l’effet coup de frein qui a accompagné l’éclatement de la crise sanitaire dans les premières semaines des mois de mars et d’avril, les fonds ont toujours les poches suffisamment profondes pour investir notamment dans le non-coté qui remporte tous les suffrages. Les processus d’enchères ont redémarré et la compétition autour de beaux actifs résilients à la Covid-19 (santé, digital, infrastructures, etc.) est repartie de plus belle. Mais le chemin reste étroit avec des valorisations teintées «d’Ebitdac» (Ebitda Covid-19) et les risques sont nombreux dans un secteur économique maintenu artificiellement sous oxygène par les PGE et autres mesures de soutien gouvernementales.
Classement des cabinets d’avocats en LBO dont la majorité des opérations porte sur des entreprises de plus de 300 millions d’euros
(Les cabinets sont classés par ordre alphabétique au sein de chaque catégorie. Les responsables de pratique sont indiqués en gras).
Classement des cabinets d’avocats en LBO dont la majorité des opérations porte sur des entreprises de 50 à 300 millions d’euros
(Les cabinets sont classés par ordre alphabétique au sein de chaque catégorie. Les responsables de pratique sont indiqués en gras).
Classement des cabinets d’avocats en capital développement et en LBO dont la majorité des opérations porte sur des entreprises de moins de 50 millions d’euros
(Les cabinets sont classés par ordre alphabétique au sein de chaque catégorie. Les responsables de pratique sont indiqués en gras).
Le private equity plutôt «Covid-proof» en 2020
Dans un contexte mouvementé, le marché du capital-investissement s’est montré résilient comme l’atteste l’étude réalisée par FranceInvest et Grant Thornton sur l’activité des investisseurs au premier semestre 2020. Près de 7,7 milliards d’euros ont été investis dans 1 050 entreprises sur cette...