Abonnés

Restructuring

Fonds, holdings, pledges : qui a l’avantage en 2020 ?

Publié le 28 février 2020 à 14h48

Charles Ansabère

Structurellement, la reprise d’entreprises en difficulté est aux mains d’un petit nombre de spécialistes en France. Néanmoins, ces professionnels entendent faire jouer leurs atouts respectifs pour tirer parti d’un deal-flow certes limité, mais dont beaucoup annoncent qu’il pourrait s’étoffer dans les mois à venir.

Une vingtaine. C’est environ le nombre d’experts actifs en France dans le segment du rachat d’entreprises en difficulté. En somme, une profession d’envergure réduite, où la discrétion est souvent de mise. D’autant qu’il y a peu d’opérations concrétisées chaque année par ces spécialistes. Pour autant, ce petit nombre évoluerait-il dans un environnement concurrentiel ? D’un simple point de vue mathématique, il est tentant de répondre par l’affirmative. Mais la réalité est plus complexe.

Dans la même rubrique

Abonnés Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics : « Mieux vaut moins d’impôts pour tous que des niches fiscales pour quelques-uns »

A l’heure où le gouvernement dévoile ses orientations budgétaires pour 2026, la ministre chargée des...

Abonnés Quelles niches fiscales risquent de faire les frais de l’austérité à venir ?

Plusieurs dépenses fiscales, concernant les particuliers et les entreprises, pourraient se retrouver...

Abonnés 28e régime : vers un cadre fiscal unifié expérimental ?

Porté par la Commission européenne, le projet de 28e régime a pour but de créer une société de droit...

Voir plus

Chargement en cours...

Chargement…