Structurellement, la reprise d’entreprises en difficulté est aux mains d’un petit nombre de spécialistes en France. Néanmoins, ces professionnels entendent faire jouer leurs atouts respectifs pour tirer parti d’un deal-flow certes limité, mais dont beaucoup annoncent qu’il pourrait s’étoffer dans les mois à venir.
Une vingtaine. C’est environ le nombre d’experts actifs en France dans le segment du rachat d’entreprises en difficulté. En somme, une profession d’envergure réduite, où la discrétion est souvent de mise. D’autant qu’il y a peu d’opérations concrétisées chaque année par ces spécialistes. Pour autant, ce petit nombre évoluerait-il dans un environnement concurrentiel ? D’un simple point de vue mathématique, il est tentant de répondre par l’affirmative. Mais la réalité est plus complexe.