Après des années de «French bashing», les investisseurs étrangers sont à nouveau sensibles aux atouts de séduction de l’Hexagone, plus «business-friendly» que jamais.
A l'heure où les réflexes protectionnistes exacerbent les tensions géopolitiques entre grandes puissances, les transactions «cross-border» atteignent des records inégalés depuis dix ans, comme s’il y avait une urgence à conclure des deals avant que les frontières ne se ferment. Le premier semestre...