D’un côté, cultiver l’intérêt des investisseurs internationaux qui n’a jamais été aussi fort pour la France qu’à la veille de cette crise sanitaire. De l’autre, protéger les fleurons de l’industrie hexagonale des crocs de prédateurs étrangers aiguisés par un contexte fragilisant des pans entiers de l’économie. Entre ces deux impératifs cruciaux, les pouvoirs publics avancent sur une ligne de crête.
Marché et analyse
La France veut rester une terre hospitalière pour les investisseurs étrangers... sous conditions
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