Les obligations réglementaires pèsent de plus en plus lourd sur les opérations convoitées par des acquéreurs étrangers, ce qui contribue à gripper les rouages d’un marché des fusions-acquisitions déjà au ralenti depuis deux ans.
L'instabilité politique de l’été et de la rentrée n’a pas créé de fenêtre de tir pour le M&A cross-border qui aurait pu échapper au regard scrutateur des pouvoirs publics momentanément neutralisés. Elle aurait plutôt accentué la frilosité des corporates français souhaitant se délester d’une activité...