Les grands groupes doivent régulièrement revoir leur portefeuille d’activités afin d’identifier celles devenues non stratégiques ou sous-performantes, et engager la cession de ces dernières. Se posent alors une série de problématiques : comment définir précisément le périmètre cédé ? Comment assurer sa future autonomie ? Quel projet de redressement peut être mis en œuvre ? Sept experts confrontent leurs analyses et expériences.
Arbitrer entre redressement et cession
Michel Rességuier, managing partner, Prospheres : Outre l’évolution du marché de l’activité concernée, il y a, à mon sens, deux critères essentiels pour arbitrer entre redressement et cession. D’une part, le caractère stratégique de l’activité lié à sa capacité à créer de la valeur pour l’ensemble...