Après des années de crise, les simples rééchelonnements de dette ne suffisent plus pour sortir les entreprises des difficultés. Certaines banques sont désormais prêtes à prendre les clés, mais évitent à tout prix un actionnariat direct.
Les rares optimistes qui avançaient il y a un an que le pire de la crise était passé en sont pour leur frais ! L’avalanche de défaillances d’entreprises en 2013 n’est en effet pas de nature à rassurer sur l’état de l’économie française. Les statistiques parlent d’elles-mêmes. Selon Altarès, 63 101...