Le rebond des rachats d’entreprises jusqu’à 50 millions d’euros de valorisation ne s’est pas accompagné d’un desserrement des clauses juridiques négociées depuis 18 mois. Acquéreurs et cédants continuent de négocier âprement, au risque de ne pas sceller d’accord.
Voilà qui est contre-intuitif. Alors que la raréfaction des rachats de PME en 2023 résultait notamment d’un durcissement des négociations et d’un retour de clauses juridiques traduisant la frilosité des parties en présence (ODA du 29 avril 2024), le retour d’un marché plus actif n’a pas permis...