Dans le contexte de crise sanitaire, l’usage massif des nouvelles technologies et le recours généralisé au télétravail ont entraîné une hausse exponentielle des actes de cybercriminalité (hameçonnage, rançongiciels, piratage de compte, etc.). Les risques pour l’entreprise sont potentiellement mortels, quelle que soit sa taille, mais les PME et TPE sont souvent plus exposées et plus démunies. Les dirigeants intègrent désormais davantage ce risque. Certaines bonnes pratiques et mesures peuvent être assez facilement mises en place, à condition d’anticiper et de ne pas le faire à la hâte.
La cybercriminalité semble progressivement s’imposer comme l’un des principaux défis auxquels sont confrontées les sociétés modernes, en raison de la place prédominante que les nouvelles technologies y occupent1. Des attaques protéiformes et évolutives, ciblant les particuliers comme les entreprises et les administrations, se multiplient et la crise sanitaire actuelle ne fait qu’accélérer le phénomène.