Adopté mi-mars en première lecture au Sénat, le projet de loi dit « résilience » lance la transposition en droit français de la directive européenne relative à la cybersécurité NIS 2. Un sujet qui a de quoi préoccuper les dirigeants des 15 000 entités françaises concernées.
Les dirigeants des entités concernées par NIS 2 risquent-ils de voir leur responsabilité pénale engagée ? Cette idée effleure souvent les esprits, alors que le cadre réglementaire final se fait attendre : la directive européenne, destinée à assurer un niveau élevé de cybersécurité dans l’ensemble de...