Selon l’Observatoire permanent de la legaltech, seul 20,3 % de ces start-up juridiques sont issues de professionnels du droit, quand 79,7 % sont le fruit d’entrepreneurs non praticiens. Ces derniers, aux profils divers et variés, interviennent dans un écosystème qui n’est initialement pas le leur, mais sont en train d’en redéfinir les contours. Nous avons rencontré plusieurs d’entre eux.
Fonder une legaltech sans rien connaître du droit serait impossible. C’est en tout cas ce que disent les observateurs les plus critiques. Pourtant, les chiffres semblent dire le contraire, puisque selon l’Observatoire permanent de la legaltech, édité et mis à jour régulièrement par le Village de la...