Si elle fait partie des clauses standards insérées dans toutes les conventions de garantie, la mise en œuvre d’une clause de garantie d’actif et de passif (GAP) mène, dans la majorité des cas, à une contestation. Or, mal rédigée, celle-ci peut faire basculer l’équilibre général de l’opération d’acquisition et changer un deal réussi en véritable fiasco.
Par Mathilde Cousteau, associée, et Magda Gillaux, collaboratrice, Bersay
Une clause de garantie d’actif et de passif (GAP) est destinée à garantir le cessionnaire de la réalité et la précision des informations délivrées par le cédant lors de l’audit préalable d’une société dans le cadre d’un projet d’acquisition et des déclarations du cédant figurant dans la convention...