Participer aux débats avec le gouvernement sur la transposition de la directive européenne sur la restructuration et l’insolvabilité, changer l’image des administrateurs et mandataires judiciaires et digitaliser le métier, c’est l’agenda chargé de Christophe Basse, élu le 9 janvier à la tête du conseil national des administrateurs et des mandataires judiciaires (CNAJMJ) pour deux ans.
Quelles sont les attentes de vos confrères en matière de défense de leurs métiers et de leurs intérêts et comment comptez-vous y répondre pendant votre mandat de président du CNAJMJ ?
Les administrateurs et mandataires judiciaires n’ont pas d’Ordre comme les avocats, ni de clientèle ou de numerus clausus comme les médecins et nous sommes positionnés à mi-chemin entre le monde du droit et celui de l’économie. En tant que praticiens de l’insolvabilité, nous constatons au quotidien...