La crise du Covid-19 a mis un frein aux opérations de capital-investissement et met en péril le développement des start-up. Afin de redonner confiance aux investisseurs, un aménagement des différents outils de financement des start-up peut être envisagé.
Par Audrey Magny, counsel, et Georges-Dominic Sardi, avocat, Hoche Avocats
Les start-up, malgré un fort potentiel de valorisation à terme, peinent en phase d’amorçage (early stage) à recourir à l’endettement bancaire en raison de faibles ou théoriques capacités de remboursement et le recours à la «love money» ne suffit généralement pas à financer le développement des projets d’amorçage.