Le 3 décembre dernier, par un arrêt retentissant, la cour d’appel de Paris a rejeté l’essentiel des demandes introduites par Bernard Tapie au titre de la réparation du préjudice qu’il prétendait avoir subi, du fait du groupe Crédit Lyonnais, à l’occasion de la vente d’Adidas.
Par Denis Mouralis, agrégé des facultés de droit, professeur à l’université d’Aix-Marseille, conseiller du Centre de médiation et d’arbitrage de Paris (CMAP), et Sophie Henry, déléguée générale du CMAP
Fin 1992, Bernard Tapie avait confié à la Société de Banque occidentale (SDBO), filiale du Crédit...