Le «say on pay» contraignant introduit récemment par la loi Sapin 2 entre en résonnance avec les prises de positions des géants mondiaux de l’investissement contre les dérives des rémunérations des dirigeants.
Il y a tout juste un an, l’affaire «Carlos Ghosn» défrayait la chronique… Pour la première fois, des actionnaires du CAC 40 rejetaient la rémunération d’un dirigeant. Le conseil de Renault avait néanmoins décidé de ne rien changer. Le package de 15 millions d’euros attribués par Renault et Nissan...